Massimo CERUTI

Je m’appelle Massimo Ceruti , et je suis  gestalt thérapeute dans la région PACA.

La Gestalt thérapie est une forme de psychothérapie. Après une longue carrière dans la finance, avec presque 30 ans de profession à Monaco, j’ai décidé que le temps était venu pour moi de revenir à mon premier amour, la psychologie.

J’ai donc suivi une formation sur 8 ans au CEEA de Chastel Arnaud, dans la Drôme Provençale, ou centre d’éco anthropologie appliquée, en même temps  j’ai commencé un vrai travail de conscience et de connaissance de soi (psychothérapie), et pendant quelques années en même temps que je continue ma profession de trader.   J’ai fini par quitter mon vieux job , et j’ai entrepris une reconversion professionnelle, en ouvrant un cabinet à Beausoleil.

Je propose actuellement un accompagnement thérapeutique à des adultes, ou jeunes adultes, qui traversent des périodes de  détresse psychique, et qui sont aussi intéressés et motivés à entamer ou continuer un parcours de connaissance de soi au sein de l’accompagnement psychothérapeutique.

Ma formation, mon intérêt et ma passion, conjuguent psyché et conscience. En effet, de part mon parcours sur ma propre thérapie, et  grâce aux expériences de mon existence,  la révélation de la dimension spirituelle, transpersonnelle et  interdépendante des êtres humains est aujourd’hui une référence  absolue dans la représentation que je me fais  de l’humanité.  Cela transpire fortement dans ma posture de psychothérapeute, et j’espère, d’homme,  et la Gestalt thérapie représente pour moi la juste synthèse entre relatif et absolu, individu et unité, singularité et transcendant.

Ce que j’aimerais mettre en avant dans cette « présentation » est ma grande passion pour un métier qui n’est pas un métier, plutôt l’accès à un espace  de profonde rencontre de l’humain, de partage et accueil de la vulnérabilité, de potentiel de guérison  et d’élévation de l’âme grâce à la relation à l’autre.  La relation thérapeutique (et la relation en général), est source de nourriture pour moi, au point que je ne considère pas l’accompagnement  comme un travail mais plutôt comme une sorte de restitution de la grâce que j’ai reçu par la vie à l’occasion de mon cheminement vers la conscience.